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Ce Lundi 24 octobre 2011, sur le LATERAL INFO.. Entretien vidéo exclusif avec M. Drigoné Faya (ex-porte parole Europe, du Général Ibrahim Coulibaly dit IB)
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  Ibrahima Coulibaly et son engagement pour la Côte d’Ivoire
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Le Général Ibrahima COULIBALY dit IB, Commandant en Chef des Forces de Défense et de Sécurité Impartiales de Côte d'Ivoire, est sans ambiguïté un combattant de la liberté, de l’égalité, de la justice sociale bref de la démocratie. Au-delà de ces principes fondamentaux qui le caractérisent, il convient de rappeler que l’homme a un faible pour l’harmonie entre les Hommes. En un mot, il cultive un altruisme assez poussé. Humaniste à outrance, le « démocratizing soldier » est  aussi un extrémiste de la solidarité. Major IB a une grande ambition pour son pays, la Côte d’Ivoire qu’il a quitté involontairement depuis bientôt onze (11) ans. 11 ans d’exil, il le vit douloureusement car l’amour que IB a pour la Côte d’Ivoire est comparable à l’amour qu’a une mère pour l’enfant qu’elle a eu par césarienne. Cela se confirme dans les six actes majeurs qui ont marqué sa vie. Comme Soundjata Keïta, il a souffert le martyr, le bannissement, l’ostracisme. Ni la soif ni la faim ne lui ont fait dériver ses membres. Tout au contraire, les dures épreuves de la vie qui marquent l’existence des grands combattants pour la liberté ont contribué à forger son armature morale. Tel Soundjata Keïta, l’épopée de l’empire mandingue, le Général IB a dans son exil forcé perdu non seulement sa mère mais aussi son père. Quelle douleur ! Quel affront !
Major IB n’est cependant pas rancunier encore moins revanchard. La tolérance et le pardon sont des vertus cardinales par lui prônées. Bien qu’étant cependant un des acteurs majeurs de la crise ivoirienne, il continue d’être victime de méchancetés de toutes sortes. De la diabolisation aux accusations gratuites et sans fondement tout y passe. Ceci n’a pour seul dessein que de l’affaiblir pour l’assassiner car devenu trop gênant pour les régimes successifs qui n’ont que pour soucis d’embrigader les masses populaires. MAJOR IB refuse cette injustice. Pour mener à bien cette noble mission à lui confiée par DIEU, MAJOR IB a décidé prendre ses responsabilités dans la crise post électorale qui était en train de nous conduire à un génocide de la population civile par Laurent Gbagbo et ses mercénaires. Il ne se passait de jours sans que Gbagbo Laurent et ses miliciens ne pillent, volent, violent et tuent des civiles aux mains nues. Cela, depuis la fin de l'élection présidentielle du 28 novembre 2011. Ainsi, IB créa le Commando Invisible, une des compagnies des Forces de Défense et de Sécurité Impartiales de Côte d'Ivoire et lui assigna la mission de protection des civils.

Qui est le Général Ibrahima Coulibaly

Biographie de MAJOR IB

Deuxième fils d’une famille de huit enfants.

Ibrahima Coulibaly dit IB est né le 24 février 1964 à la maternité de Koko - Bouaké, de  Mamadou Coulibaly, ancien fonctionnaire et Djénéba Fofana, mère au foyer.
A sept ans, IB va à l’école primaire publique Ville Sud.
Ibrahim Coulibaly entame le secondaire au Collège d’Orientation de Bouaké (COB); puis à Ferkessédougou il obtient le Brevet d’Etudes du Premier Cycle avant de retourner à Bouaké, au Lycée Classique.
Le 3 janvier 1985, IB est appelé sous le drapeau au troisième Bataillon (ancien camp).
Pendant deux ans, il gravit les échelons ; de caporal, il passera rapidement au grade de sergent-chef de l’armée ivoirienne après le CT1-Sport.
Il sera affecté à la Garde Présidentielle, aujourd’hui Garde Républicaine, jusqu’en 1990.

De 1990 à 1993 il assure la protection du Premier Ministre de l’époque.
A la mort du Président Félix Houphouët Boigny en 1993, IB est rappelé à son corps
d’attache, à la Garde Présidentielle de Yamoussoukro.
Une nouvelle affectation le conduit au Groupement des Sapeurs Pompiers de Yopougon en tant que Moniteur chef de sport, d’où il prépare et obtient son baccalauréat série A1 en cours du soir.
Il complètera sa formation militaire par divers stages dont le Brevet National de Secourisme (BNS), le Certificat Pratique des Sapeurs Pompiers (CPSP), le CS1 Pompier, le CS2 Pompier et Routier.
En 1998, il fait partie de la Deuxième Promotion Commando de Zambakro, Yamoussoukro.
IB est en outre expert en arts martiaux et père de cinq enfants.

Le début d’une légende

Ce n’est pas une biographie exhaustive d’IB que nous vous proposons ici, mais plutôt un coup de projecteur sur la transition de 1999-2000.
Durant cette période, IB accède en effet au devant de la scène nationale, et en vient à exercer des responsabilités de premier ordre.

Poussé par le destin dans les coulisses du pouvoir, il y fera l’apprentissage des dures réalités de la politique, y découvrira la misère des hommes, et ne s’en trouvera que plus renforcer dans ses convictions démocratiques.

Après avoir observé les intrigues et dérives des différents régimes, les avoir farouchement combattues, il estime aujourd’hui du devoir de la Communauté internationale de se porter au chevet de la Côte d’Ivoire, un pays malade de ses politiciens.
Putschiste : l’étiquette lui colle à la peau depuis le coup d’Etat du 24 décembre 1999. C’est le raccourci préféré des journalistes pour qualifier l’homme. Le terme l’agace, parce que sa connotation péjorative trahit le sens de ce qui fut pour lui un acte de salut public. Car à l’origine du renversement de Bédié, il y a ce choix devant lequel fut placé IB: celui entre «laisser le pays s’effondrer totalement, ou le sauver en se séparant d’un individu », explique IB.

Fin 99, la Côte d’Ivoire est au bord de la guerre civile. Le spectre de l’ivoirité plane sur tout le pays; le mal menace de gangrener la totalité du corps social. Le discours de fin d’année du chef de l’Etat sert de détonateur : c’est un discours belliciste, qui couronne une vague d’arrestations d’opposants politiques, ainsi qu’une série de purges au sein de l’armée nationale.
Ainsi, le Président Bédié croyait-il conserver son siège en écartant une à une les personnalités les plus dérangeantes. Au premier rang desquelles IB, qui jusqu’alors ne s’était jamais engagé dans le domaine politique. Dès son accession au pouvoir en 1995, à l’issue d’une élection qui avait vu la candidature d’Alassane Ouattara invalidée pour cause de « nationalité douteuse », Bédié perçoit le danger que représente pour lui le jeune sergent karatéka, déjà réputé pour sa détermination, sa franchise et sa droiture morale.
IB est alors un membre influent de la garde républicaine, où il a été rappelé. Il dirigeait alors le Corps de Protection Rapprochée de l’ancien premier ministre.
Depuis cette date, et aujourd’hui plus que jamais, IB sera toujours suspecté d’être le bras armé du RDR et de son leader. C’est pourquoi, un mois après sa prise de pouvoir, le Président Bédié décide de l’éloigner des armes en le nommant moniteur au centre d’instruction des sapeurs pompiers de Yopougon.

En « oubliant »de lui faire suivre la formation d’officier...
Bédié connaît une triste fin de règne. C’est un homme isolé, qui a réussi à faire l’unanimité contre lui.
Le mécontentement général des Ivoiriens conduit des jeunes militaires qui n’ont pas touché leur solde depuis plus de six mois, à soumettre leurs doléances directement au chef de l’Etat. La décision de le démettre tombera au terme d’un round de négociations infructueuses avec les jeunes gens en colère. Le Président cherche à les endormir, se disant prêt à régler l’ensemble des problèmes militaires. Mais les doléances des soldats ne se limitent pas à de simples revendications corporatistes.
A celles-ci s’ajoute l’exigence de libération immédiate des prisonniers politiques.
« Nous nous étions levés pour obtenir les garanties d’un vrai retour à la paix sociale. Et nous n’avons pas manqué de dire au Président qu’il n’y aurait pas de retour à la stabilité sans la libération de tous les prisonniers politiques et le rétablissement des libertés publiques, notamment celle de manifester. Pour nous, c’était une exigence inconditionnelle. Mais Bédié a refusé. La rupture était consommée, nous avions compris que cet homme-là ne poursuivait rien d’autre que son profit personnel, aux dépens de l’intérêt national ».

Ce fut un renversement sans violence. « Pas une goutte de sang n’a été versée, je m’étais moi-même engagé à veiller sur la sécurité et les biens de l’entourage du président », souligne IB, qui conduisait la délégation.
IB, le tombeur de Bédié, aurait pu prendre le pouvoir en cette fin d’année. Pourtant, la tentation ne lui a jamais effleuré l’esprit : « ll fallait connaître ses limites en ce moment-là. A chacun son champs de compétence. Celui qui, par vanité, cherche à
en sortir, pêche devant Dieu et les hommes. J’étais militaire et j’entendais m’en tenir à ce rôle, par égard pour le peuple et moi-même. »
Une sentence tristement prophétique, puisque le passage du général Gueï au pouvoir en confirmera la vérité profonde. IB et ses hommes, ayant obtenu la démission du Président Bédié, demanderont, sur la recommandation du Général Palenfo, au Général Gueï d’assurer l’exercice du pouvoir jusqu’aux prochaines présidentielles. Ce dernier leur promet solennellement l’organisation d’élections libres et transparentes, sous huit mois.
« Vos demandes sont des ordres », dira-t-il aux révolutionnaires malgré eux.
« Et il est vrai que lors de son premier discours, il a repris mot pour mot nos exigences démocratiques ».
C’est ainsi que le Conseil National de Salut Public (CNSP) est mis sur pied. Gueï propose à IB un poste dans l’instance dirigeante de la transition. Contrairement au lieutenant Boka
Yapi, il refuse un portefeuille ministériel, fidèle à sa ligne de conduite.

Quatre mois plus tard, IB, non sans amertume, constate le retour en grâce des anciens conseillers de Bédié auprès du chef de la junte. La clique s’est reconstituée. Les mêmes apprentis sorciers du PDCI cherchent à convaincre Gueï que « le pouvoir ne se donne pas, mais s’arrache », que « Dieu a voulu qu’il soit chef de l’Etat et qu’il le reste ».
IB se permet de mettre le Général en garde, tente de le dissuader de prêter oreille à ces funestes sirènes.

« Je lui ai dit : mon Général, vous commettez la plus grande erreur devant Dieu. Souvenez-vous que vous vous êtes engagé devant lui et le peuple. Les hommes que nous avons renversés hier ne peuvent être de meilleurs conseillers pour vous aujourd’hui ». En vain. L’homme était déjà irrémédiablement aveuglé par la folie du pouvoir. « Il m’a répondu que nous étions trop jeunes pour juger du bien-fondé de sa politique. S’il s’entourait des ex-barons du PDCI, disait-il, c’était pour les amener à lui révéler où était caché l’argent détourné du temps de leur règne, ainsi que pour profiter de leurs carnets d’adresse ».

IB le comprendra plus tard, mais Gueï avait déjà son plan derrière la tête : obtenir des ténors du PDCI leur soutien à sa candidature -alors non déclarée- aux élections présidentielles d’octobre 2000. La manœuvre a échoué, Bédié ayant contre-attaqué avec vigueur. Gueï cherche alors un nouvel allié. Gbagbo perçoit l’opportunité qui s’offre à lui, et ne tarde pas à frapper à la porte du général. Le PDCI refuse de pactiser avec ce dernier ? Qu’importe, Gbagbo lui promet le soutien total du FPI, son propre parti. Les visites nocturnes à la Présidence se multiplient, tandis qu’IB observe le manège des deux

hommes. Gbagbo finit par persuader Gueï que sa victoire passe par l’élimination de la course à la présidentielle de ces deux principaux rivaux, Alassane et Bédié. Gbagbo assure Gueï d’être son fidèle numéro 2, quelque soit l’issue du scrutin.

Voilà comment le Général s’est laissé enfariner. Tant et si bien que «la veille des élections, Gueï est allé jusqu’à remettre à Gbagbo 300 millions pour battre sa campagne ». Ce que le boulanger ne s’est pas privé de faire. Pendant ce temps, Gueï reste cloîtré à la Présidence. « Il avait si peur d’une attaque qu’il n’osait même plus sortir », se souvient IB, à qui est revenu la lourde responsabilité de mater deux mutineries au sein de l’armée durant cette période. La première en juin à Daloa, la seconde le 4 et 5 juillet à Abidjan. « Doué était l’instigateur de ce dernier soulèvement. C’est lui qui a encouragé la circulation dans les rangs de la rumeur selon laquelle Gueï avait promis à chaque soldat 3 millions de francs CFA s’il parvenait au pouvoir. » Le 4 et 5 juillet, IB fait office de rempart contre la déstabilisation. Gueï a en effet déserté la Présidence pour aller se réfugier à la gendarmerie d’Agban.

Au milieu de l’été 2000, le courant ne passe plus entre les deux hommes. Gueï a enfourché à son tour le cheval de l’ivoirité. IB ne cache pas son désaccord avec ce virage idéologique du Général, lequel se méfie de plus en plus du chef de sa sécurité. Sa paranoïa va croissante, alimentée par son entourage qui lui fait croire qu’IB s’apprête à le renverser à tout moment.
S’en est de trop pour Gueï, qui décide d’éloigner IB pour de bon. En septembre, le Sergent-chef se voit confier une mission à Ottawa, au Canada. Officiellement, il s’agit de prospecter en vue de son futur poste, après la transition. Arrivé sur place, IB apprend que sa mission s’est muée en affectation. Il vient d’être nommé attaché militaire près l’ambassade de Côte d’Ivoire au Canada.
« Une semaine après mon départ débute la vague d’arrestations de mes éléments, au motif de tentative de déstabilisation du pays. » Le coup du Cheval Blanc, le 17 et 18 septembre 2000, vient parachever la purge dont sont victimes ses hommes. Montée de toute pièce par Gueï, l’opération vise à mettre la main sur Diomandé Souleymane, plus connu sous le nom de la Grenade. Ce jeune militaire, compagnon d’IB, est arrêté et emprisonné à la Maca, la sinistre prison ivoirienne.

IB sort alors de son silence et prie le Général de libérer ses hommes sans délai. « Je lui ai demandé de penser au jour où nous sommes allés le chercher. A ce jour et aux jours suivants où il s’est posé en héritier d’Houphouët, en restaurateur et garant de la paix sociale»

Gueï reste sourd à ses requêtes et avertissements. La Grenade est assassiné après avoir été torturé à mort par les hommes de Boka Yapi. « Dès lors, il ne m’était plus possible de servir un régime tortionnaire, versé dans la tyrannie. C’est pourquoi j’ai rendu ma démission. » IB prend le maquis, et jure devant Dieu de lutter jusqu’au retour de la paix et de l’unité dans son pays. Jusqu’à ce jour, la foi en la justesse de son combat ne l’a pas quitté. Entre temps, Gbagbo a réussi son coup d’Etat démocratique, repris à son compte l’ivoirité, porté à son comble la xénophobie et poursuivit méthodiquement le travail de sape de l’Etat de droit. Entre temps, le Nord s’est soulevé pour dire non à l’injustice. Entre temps, IB a appris à mieux connaître les hommes et leurs faiblesses face au pouvoir. Il a tiré les leçons du passé. Oui, si c’était à refaire, il ne remettrait pas les clés du pays dans les mains d’un seul homme. Car les hommes forts deviennent trop facilement des hommes fous. Les politiciens l’ont souvent déçu et trahi, emportés par la cupidité et la vanité, mais il garde une confiance inébranlable en l’avenir de son pays. Contre le doute, il a Dieu. « Lui seul sait pourquoi la Côte d’Ivoire doit traverser de pareilles épreuves, endurer de telles souffrances ». « Aujourd’hui, au moins on sait qui est qui. C’est dans l’adversité, mais aussi dans l’exercice du pouvoir et de ses responsabilités, que les hommes révèlent leur nature profonde ».

IB appelle ainsi de ces voeux l’émergence d’une nouvelle génération d’hommes et de femmes politiques, qui allieraient honnêteté, courage et compétence. Est-ce trop demander? IB se veut pourtant réaliste.


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Général Ibrahim Coulibaly IB
Chef du Commando Invisible
 

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